Devenir psychologue, un parcours du combattant

Le psychologue pourrait être considéré comme un panier, dans lequel tout le monde vient déverser ses peurs, ses angoisses, son stress, ses doutes, ses frustrations, ses traumatismes, et bien d’autres problèmes affectant la santé mentale de l’être humain. Il passe ses journées entre les consultations et les thérapies aux patients, de façon à leur redonner du courage afin qu’il puisse trouver la solution en eux même. Tout comme le psychologue situé à Anderlecht, tous ceux qui effectuent ce métier sont dans une constante maîtrise d’eux même, puisqu’ils font abstraction totale de leur vie et de leurs problèmes pour donner toute leur énergie aux problèmes des autres. C’est un métier assez complexe, non pas pour les nombreuses années d’études à réaliser, mais pour la personne qu’il faut être face à chaque patient.

Les exigences du métier

C’est loin d’être la situation qui prévaut chez dans le bureau d’un comptable, ou d’un ingénieur en informatique, car il s’agit ici de vies humaines parfois au bord de la dérive. Un psychologue peut recevoir chaque jour une dizaine de patient aux humeurs et problèmes différents auxquels il doit adapter sa posture et son vocabulaire à chaque fois. En effet, un psychologue doit créer une atmosphère paisible et un sentiment de confiance grâce à son empathie, son contact facile, sa tolérance et son ouverture d’esprit. En effet, il est censé passer des messages d’encouragement et d’optimisme à son patient mais celui ci ne sera jamais convaincu par des paroles qui manquent elles même de conviction. Cela dit, chaque psychologue commence par travailler sur sa propre personne, pour répondre à un patient en colère, puis une autre en larmes, et encore un autre qui fait fie d’aller bien. Cette attitude est primordiale pour être tout d’abord un bon psychologue, et aussi pour accompagner tous les cas qui se présenteront à lui.